SOFAkustik

Marla Moya

  • Folk
  • Indie-Folk
Foto von Musikerin Marla Moya auf einer Wiese bei Sonnenuntergang

En janvier, Marla Moya (en solo) sera l’invitée de SOFAkustik. Avec sa voix profondément enracinée, elle rappelle les grands artistes folk d’autrefois et captive son public uniquement par le chant et la guitare. Son premier single « In The Wind » a déjà dépassé le million d’écoutes sur Spotify en seulement deux semaines.

On l’entend une fois – et on ne l’oublie plus. Marla Moya chante avec une chaleur rauque et une émotion limpide. Ses chansons sont sincères, sans prétention, et portent une intensité silencieuse – à la fois intemporelle et contemporaine. Sa musique évoque des grands noms comme Fleetwood Mac ou Harry Nilsson, tout en rappelant des figures actuelles de l’indie comme Angel Olsen ou Weyes Blood.

Au cours des dernières années, Marla a parcouru le monde avec son ancien partenaire sous le nom de « Marla & David Celia » – plus de 1 000 concerts, dont des apparitions au Glastonbury Festival, au Mariposa Folk Festival et dans des sessions pour la BBC. Aujourd’hui, un nouveau chapitre commence : sous le nom de Marla Moya, elle sortira en novembre son premier album Sanguine Soul chez Backseat, produit à Los Angeles par son idole de jeunesse Robert Francis.

À ses côtés : des musiciens d’exception comme Joachim Cooder (Buena Vista Social Club) et Doug Pettibone (entre autres Tracy Chapman, Keith Richards). Enregistré en direct et sans clic de métronome – un choix délibéré de rompre avec la perfection, au profit du ressenti, de l’air, de la vie. Les chansons parlent de bouleversement, de quête de soi, de peur et d’espoir – l’histoire d’une jeune femme en pleine réinvention. « Même si je n’ai pas l’impression qu’il s’agisse d’une collection classique de chansons d’amour, un souffle discret de cela traverse presque chaque morceau. Mais c’est logique – au fond, la vie tourne toujours autour de l’amour », confie Marla.

Entre lumière et ombre, désir d’ailleurs et retour au foyer, besoin d’être vue et force d’être suffisante à soi-même. Les chansons de Marla Moya sont à la fois intimes et vastes – elles ouvrent des espaces sans jamais perdre le contact avec la terre. À la fin, on ne sait jamais vraiment : est-ce un rire ou des larmes que l’on entend ? Sans doute les deux. Et c’est justement pour cela qu’elle demeure.

Détails
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